CITEE DE CHAMBALLA 2 ET¨V
ERIAL ALI
Kristallen Licht Groeten,
La cité, connue dans certaines légendes sous le
nom d'Agartha et de Hsi Wang Mu dans d'autres, est peut-être
souterraine et l'on dit souvent qu'elle se trouve non loin de Lhasa.
Il y a eu plusieurs rapports, plus ou moins douteux, d'explorations
de tunnels conduisant à cette cité, mais le plus convaincant est celui
de l'artiste mystique russe Nicholas Roerich (1874-1947).
Alors qu'il voyageait en Asie, durant la première décennie
du XXème siècle, il entendit parler des huit immortels
et de leur demeure dans la montagne. Un guide indigène lui parla
d'une immense caverne, dans la chaîne des monts Kunlun,
où des trésors auraient été cachés depuis l'aube de
l'histoire et où vivrait un peuple étrange d'hommes gris.
gilbert william
Dans les années 1920, l'Abbé supérieur de la lamaserie
de Trasilumpo confia à Roerich
un fragment de pierre magique issue d'un autre inonde :
la Pierre Chintamani,
réputée provenir de la région de Sirius
SCHAMBALLA CELESTE
Les adeptes de la théorie de la Terre Creuse ont consacré
beaucoup d'énergie à tenter de repérer les entrées polaires, particulièrement la boréale, vers les parties creuses de la Terre. Ils ont puisé leur matériel de recherche à de nombreuses
sources, les méthodes scientifiques, entre autres, ont été utilisées, depuis l'imagerie des satellites jusqu'aux relevés sismographiques. Mais auparavant, les "Chercheurs de Terre Creuse" cherchaient les informations dans les légendes et le folklore ainsi que dans les rapports des expéditions polaires.
Par exemple, le Bhagavat Purana raconte l'histoire des fils du Maharaja Sagara que leur père envoya de par le monde à la recherche du cheval sacrificiel qui avait été volé par Indra. A un certain moment, les fils de Sagara partirent de l'Inde vers le nord-est, pénétrèrent dans la Terre et trouvèrent le cheval à l'ermitage de Kapila Rishi (ils ne se montrèrent guère amènes à l'égard des Rishis). D'autres Puranas offrent davantage de détails.
Ils relatent que les Sagaras vinrent à un océan du nord, le traversèrent, et qu'ensuite ils pénétrèrent dans les entrailles de la Terre.
Il y a des croyances bouddhiques traditionnelles à propos de la cité de Shambhala et du royaume de l'Agartha, au sein duquel elle se trouve. En l'occurrence, certains entretiens que l'érudit Nicholas Roerich eut avec des lamas et d'autres tibétains, tandis
qu'il voyageait avec sa femme dans cette région vers 1920, ont été consignés dans divers livres, à commencer par ceux de Roerich lui-même, entre autres Altai-Himalaya (1929) et Shambhala (1930). (Son œuvre artistique est toujours exposée au Musée Nicholas Roerich au 319 West 107th Street à New York City).
Roerich écrit :
"Je me souviens que, tandis que nous franchissions la passe de Karakorum, mon saïs, le Ladaki, me demanda : savez-vous pourquoi il y a là-bas une haute terre si particulière ? Savez-vous que, dans des cavités souterraines de nombreux trésors sont cachés et qu'il y vit une tribu merveilleuse qui exècre les péchés du monde ? Et en effet, en approchant de Khotan, les sabots de nos chevaux firent résonner le sol, comme si nous chevauchions sur des cavités.
Les gens de notre caravane attirèrent notre attention sur ce phénomène... Quand nous vîmes des entrées de cavernes, nos caravaniers dirent : des gens vivaient ici, il y a longtemps; maintenant ils sont à l'intérieur ; ils ont trouvé un passage souterrain vers ce royaume souterrain."
Voici les passages les plus importants (tirés de Shambhala, la resplendissante, Nicholas Roerich) d'une conversation que Roerich eut en 1928 avec un lama tibétain.
"Roerich : Lama, parle moi de Shambhala.
Lama : Mais vous, les occidentaux, vous ne savez rien de Shambhala, vous ne cherchez pas à savoir. Sans doute vos questions sont-elles inspirées par la curiosité, et vous évoquez ce nom sacré en vain."
Après que Roerich l'eut un peu amadoué, le lama le considéra et poursuivit :
"L : La Grande Shambhala est bien au-delà de l'océan. C'est le puissant domaine céleste. Cela n'a rien à voir avec notre Terre. Pourquoi et comment se fait-il que vous et votre peuple s'y intéressent ? Seulement dans certains endroits, loin au nord, peut-on voir les rayons resplendissants de Shambhala... Les secrets de Shambhala sont bien gardés.
R : Lama, nous connaissons la grandeur de Shambhala. Nous sommes conscients de la réalité de ce royaume indescriptible. Mais nous connaissons aussi l'existence de la Shambhala terrestre.
Nous savons que de grands lamas ont visité Shambhala... Nous connaissons l'histoire du Lama Buryat, comment il fut conduit par un passage secret très étroit... Alors ne me parlez pas seulement de la Shambhala céleste, mais aussi de la terrestre..
. parce que je sais qu'il y en a une vraie sur Terre aussi... Lama, comment se fait-il que la Shambhala terrestre n'ait pas encore été découverte par des voyageurs ? Les cartes nous montrent tant de chemins d'expéditions.
Il semble bien que tous les sommets aient été marqués et toutes les vallées et rivières explorées.
L : ..Mais jusqu'ici ces gens n'ont pas tout trouvé, alors,
qu'un homme essaye d'atteindre Shambhala saris y avoir été appelé ! Vous avez entendu parler des torrents empoisonnés qui entourent les hauts plateaux. Peut-être avez-vous vu des gens mourir à cause des gaz lorsqu'ils s'en approchent... Beaucoup de gens essayent d'aller à Shambhala sans invitation. Certains ont disparu à tout jamais. Quelques rares parmi eux atteignent le lieu sacré et seulement si leur karma est prêt pour cela."
Plus récemment, Jan Lamprecht aborda ce sujet dans son livre Hollow Planets [Les Planètes Creuses] (1998). Un lama et docteur tibétain, enseignant de renom en bouddhisme Vajrayana, donna des conférences à San Jose,
Californie, et fit référence à l'Agartha. Il porte le titre de : Sa Sainteté Orgyen Kusum Lingpa, ce qui laisse présumer qu'il appartient à une certaine lignée et qu'il détient d'anciennes informations sur le sujet. Lamprecht écrit :
Au cours de ses conférences à San Jose, ce lama déclara que 1'Agartha pouvait être atteinte depuis l'Inde en volant vers le nord pendant sept jours. Je présume que le lama entendait par là : la vitesse du vol d'un oiseau. Dans ce cas, en sept jours à la vitesse moyenne d'un oiseau, vers le nord à partir de l'Inde on atteint facilement l'Arctique.
Le lama de Roerich affirmait que Shambhala se situait dans le lointain nord. Serait-ce une référence à l'océan arctique ?"
Source
édité de la page web www.skywebsite.com/hollow/arctic